60 – J’Ai Trompé Mon Mari Pendant Qu’Il Faisait La Garde Sur Le Toit (2) :

Cela aussi était nouveau pour moi. Dès qu’il commença ses vas et viens, j’ai senti une différence avec la baise par devant. J’ai eu l’impression que son gros zob s’était enfoncé plus loin dans ma chatte et fouillait des zones internes nouvelles. De plus, il m’ouvrit l’anus d’un doigt qui s’y enfonça et commença à me masturber le cul. Je n’ai jamais eu cette sensation car personne ne m’a jamais touché ou mis le doigt au cul. C’est une impression inédite et surtout une sensation d’abandon de mon cul à ce doigt. En plus du zob qui allait et venait dans ma chatte, ce doigt qui me branlait le cul semblait amplifier mon plaisir et ma jouissance. Je le ressentais comme un complément de plaisir, qui m’ouvrait complètement par devant et par derrière, et amplifiait ma jouissance. Je m’ouvrais avec plaisir au zob et au doigt qui me niquaient tous les deux. Et cela ma tellement excité que j’ai immédiatement eu un orgasme explosif. Et le jeune voisin continua ses vas et viens tout en s’accrochant d’une main, à mes hanches qu’il secouait de temps en temps et le doigt de l’autre main dans mon cul. Il balançait mes hanches et mon derrière à droite et à gauche et ainsi, il doit faire tourner son zob dans ma chatte et à sa guise, mais moi aussi je ressentais ainsi son gourdin de chair qui me malaxait l’intérieur plus fortement et agréablement et ça me donnait des jouissances toutes nouvelles. Pendant ce quart d’heure ou plus, il a réussi à me faire obtenir trois autres orgasmes presque à la suite car j’étais réellement en jouissance permanente. Enfin, il arriva à son top et éjacula, exactement trois puissants jets comme avant. Mais cette fois, j’ai aussi eu une nouvelle impression, que son jus s’est enfoncé très loin et m’ rempli les entrailles jusqu’au ventre. Enfin rassasié, mon voisin retira son zob et le frotta sur mes fesses et sur le sillon, touchant parfois mon anus dont le doigt était resté enfoncé.
Il me branlait le cul avec son doigt et essaya d’y ajouter un second doigt.

Ce fut dificile et ça me faisait un peu mal. C’était beaucoup plus de la gène que de la douleur et j’ai essayé de l’en dissuader mais il a été plus fort et m’a claqué par deux fois les fesses et me demandant de patienter. J’ai obéit et attendu ce qu’il voulait dire. J’avais compris tout de suite qu’il voulait aussi me niquer par le cul et, sincèrement j’étais un pour. Je ne savais pas ce que cela ferait mais je lui fais confiance pour me donner encore du plaisir sexuel, même par le cul. Alors j’ai patienté en jouissant un peu de ces deux doigts qui me branlaient doucement. Puis il enleva ses doigts et me donna un baiser sur les fesses et sur le cul. Ensuite, il remit ses doigts et essaya de les écarter comme pour mieux ouvrir mon anus et j’ai accepté. Puis j’ai ressenti, non pas des doigts mais un instrument qui essayait de s’enfoncer dans mon cul. J’ai essayé de protester mais avec une tape sur les fesses et une promesse, il me calma. Puis l’objet m’ouvrit petit à petit mon anus et s’y enfonça doucement et le jeune commença à me branler le cul avec cet objet. Après une dizaine de vas et viens, il le ressortit, puis il le remit à l’entrée de mon anus et le poussa. L’objet ouvrit mon anus et s’enfonça facilement et complètement. Le jeune me demanda de me relever et de retourner, ce que je fis, en ressentant l’objet planté dans mon cul. Son zob était encore en partie bandé et je savais que si je le touchais il se redresserait. Mais pour ce soir, ma chatte en a eu assez et j’ai abaissé ma robe et temps pis pour les tâches de sperme qui coulait sur mes cuisses. Il referma sa braguette mais il poussa sa main vers mon derrière et retira l’objet enfoncé dans mon cul et me le montra. C’était un petit zob tout rose, en caoutchouc avec des formes de nervures et une grosse tête, ainsi il semblait vigoureux. Il m’a dit que la majorité des veuves et même des jeunes filles étudiantes possédaient ce genre de zobs, mais plus gros pour se donner du plaisir à la chatte et au cul, en absence d’hommes.
Et en ce qui me concerne, il m’a expliqué que si je voulais avoir aussi du plaisir avec mon cul (ma terma comme il dit), son zob était trop gros pour l’instant. Il fallait donc assouplir mon anus avec cet engin pour faciliter son ouverture. Je devais faire cet exercice de l’enfoncer dans mon anus plusieurs fois dans la journée et on verra le résultat demain soir. Donc, il me donna ce zob moyen qui était légèrement plus petit que le zob de mon mari. Ensuite, après un ou deux baisers sur la bouche, il est parti et j’ai rapidement rejoins ma salle de bain. Je me suis vidé et nettoyée de son sperme et j’ai même pris une douche puis j’ai examiné ma robe. Il y avait plusieurs tâches de sperme, alors je l’ai lavée complètement et dans ma chambre j’ai changé de robe. Puis, j’ai vérifié la situation calme de mon mari sur le toit et j’ai rejoins mon lit bien rassasiée sexuellement de baises et de sperme.
Le lendemain soir, quant nous nous sommes rejoins dans le couloir, le jeune voisin a d’abord satisfait ma chatte par devant. J’ai enlevée et jeté par terre ma robe et nue complètement, j’ai haut levé une de mes jambes pour bien lui ouvrir le chemin de mon entre cuisses. Il enfonça son gros zob dans mon trésor et me donna, comme les autres soirs, du plaisir à profusion. J’ai eu trois orgasmes avant que lui n’arrive au top. Et qu’il m’a collée au mur pour éjecter son sperme dans mes par trois fois dans mes entrailles, la chaleur de son jus et sa puissance m’on don donné un quatrième orgasme. Puis, devenue une tradition, il a voulu me niquer dans la chatte mais par derrière et j’ai pris position avec les jambes bien écartées. Son zob s’enfonça encore une, sans se reposer, dans ma chatte et il recommença ses puissants vas et viens, avec toujours des « han » de désir chaque qu’il s’enfonçait avec puissance et presque hargne dans ma chatte. Et comme d’habitude, il me branla l’anus avec un et deux doigts enfoncés dans mon cul, pour amplifier la baise. Enfin, il réussit à éjaculer deux fois seulement mais fortement.
Tout en retrouvant notre souffle, je restais courbée contre le mur et lui gardait son zob dans ma chatte. Il me demanda le zob de caoutchouc et il l’enfonça dans mon cul. Comme j’avais fait les exercices qu’il m’avait recommandé dans la journée, je l’avais enfoncé des dizaines de fois dans mon cul, même à sec et ça a marché. Ce soir aussi, il s’enfonça sans problème. Alors, il prit un autre zob de caoutchouc mais plus gros, je l’ai ressenti tout de suite quant il essaya de me l’enfoncer dans le cul. Il essaya par deux fois mais ne réussit pas. Alors il me l’a donné et m’a conseillé de l’exercer dans la journée, plus calmement et avec du beurre. Quant je l’ai pris dans la main, j’ai constaté qu’il était aussi gros que le zob du jeune voisin. Si jamais j’arrivais à l’enfoncer dans ma « terma » comme dit, son vrai zob de chair pourrait lui aussi me niquer dans le cul. On verra demain soir. Pour me consoler, il remit son zob dans ma chatte, par derrière et recommença à me baiser. Moi, en tous cas, je suis toujours pour et ma chatte n’est jamais contre. Il m’a niqué pendant plus d’un quart d’heure avec son zob toujours bandé et gonflé, ce qui est une performance à mon sens, mais il n’est pas arrivé à éjaculer alors que moi j’ai eu deux orgasmes. Puis il s’est retiré. Je me suis relevé et retourné. Son zob commençait à faiblir. Je me suis accroupi et je l’ai empoigné puis je l’ai mis dans ma bouche et commençais à le lécher, le sucer et le branler. Je n’ai jamais fait cela et c’est venu comme ça, tout naturellement. J’ai voulu le mettre dans ma bouche pour sentir sa chaleur et sa douceur et les sucer. Pur ce gros zob qui entrait difficilement dans ma bouche, mais j’y ai réussi, je voulais changer ma chatte par ma bouche, aussi douce et aussi chaude. Je le suçais et même aspirais comme pour attirer tout ce qu’il a en son intérieur. Et ça a marché. Au bout d’un moment, mon voisin commença a ressentir l’excitation, puis le plaisir et enfin, ne se retenant plus, il soufflait et me retenait la tête pour mieux branler son zob avec ma bouche et il réussit à éjaculer.
Oui, il éjacula dans ma bouche, mais je ne sais pas combien car j’avais la bouche trop ouverte et j’ai avalé tout ce que ses couilles ont lâchées. Enfin, il retira son zob, mais j’ai continué à le maintenir et à le lécher et sucer jusqu’à le nettoyer à fond, jusqu’aux couilles. Cela aussi m’a donné une nouvelle sorte de plaisir que je n’aurais jamais avec mon mari. Enfin, on s’est libéré et il est parti en me confiant le gros zob de caoutchouc.
Le lendemain, plusieurs dans la journée, en lubrifiant mon anus de beurre, j’ai essayé d’y enfoncer le godet et par deux fois, en ayant certes de la douleur, je suis arrivée à faire entrer la tête, qui est la plus grosse. J’ai laissé mon anus se reposer deux heures et vers 13h, par une autre tentative, j’ai réussi à faire entrer la tête du godet, mais j’avais mal en l’enfonçant encore plus. Il devait écarter l’intérieur de mon cul et ça c’était difficile. Et puis j’ai eu une idée, comme les audaces du jeune voisin. Accroupie et laissant le godet avec la tête dans mon anus, j’ai commencé à me branler la chatte comme si un zob me niquait. Rapidement ma chatte s’est chauffée et, aussi bizarre que cela, mon anus vibrait au diapason de ma chatte. Alors, tout en me masturbant, j’ai continué à enfoncer le godet et ça a marché. Il s’est enfoncé, je dirais, jusqu’à ses couilles. Puis je l’ai retiré doucement sans le sortir et j’ai repris la même expérience chatte et cul ensemble. Et au bout d’une dizaine de fois, le godet s’enfonçait même sans me branler la chatte. Alors, je l’ai retiré complètement et me je me suis relevé, puis, relevant ma robe, je me suis penché sur le mur des toilettes dans la position ou le jeune me niquait par derrière. Et j’ai essayé d’enfoncer le godet dans mon cul et après trois essai et aidé avec un doigt, l’engin m’a pénétré et jusqu’au fond. Je me suis redressée et le godet est resté figé dans mon cul et je ne ressentais aucun mal, seulement la présence de l’objet dans mes entrailles, un peu gênante. Et le soir, en rejoignant mon amant, j’étais heureuse et impatiente de connaitre les résultats réels.
Comme les soirs précédentes, mon jeune voisin m’a longuement et vigoureusement niqué par devant à la hussarde. J’ai eu comme d’habitude trois orgasmes et lui aussi trois éjections de sperme. Puis, comme d’habitude et sans attendre on a prit la position par derrière et il a enfoncé son gros zob dans ma chatte. Je vous ai dit que la baise par derrière, dans la même chatte, n’a pas les mêmes sensations et effets pour les deux amants. Je l’ai ressentis et mon jeune voisin me l’a voué aussi de son coté. C’est une autre niquée, d’un genre et de jouissances différentes. Et il m’a fait jouir par deux orgasmes puissants et lui aussi par deux éjaculations qui m’ont inondés les entrailles. Mais il n’a pas oublié de m’enfoncer ses doigts dans le cul. C’est devenu automatique avec la niquée de la chatte par derrière. Ensuite, au repos, il m’a questionné sur le godet. Je le lui ai remis et il a essayé de l’enfoncer dans mon cul. Et l’engin repoussa avec facilité mon anus et s’enfonça dans mon cul avec aisance. Alors, ébloui, le jeune homme poussa presque un cri de victoire. Et tenant son zob à la main, il pointa sur mon anus et poussa doucement. J’ai ressenti, encore mieux que le godet, la traversée de mon anus par le gros zob de mon amant. Il s’enfonça jusqu’aux couilles, jusqu’à faire claquer son pubis sur mes fesses. Et c’est ainsi que le zob de mon voisin me dépucela du cul et il commença la danse de vas et viens, totalement inédites dans ma « terma ». Heureusement que le jeune homme était vigoureux et récupérait vite. Son zob, avec cette nouvelle proie, le cul nouveau et étroit, retrouva rapidement sa dureté et se regonfla à fond et ses couilles se remplir de nouveau de plaisir. Moi, ce que je ressentais avec ce vrai zob était différent avec le godet froid. Maintenant c’est un gourdin chaud, dur et doux à la fois qui me frottait le cul et je le ressentais même un peu par-dessous, dans la chair de ma chatte. C’était une possession complète et quant il accéléra ses coups et leur vigueur, c’était différent avec ma chatte. Dans les coups qu’il me portait, j’avais l’impression qu’il s’enfonçait encore plus dans mon corps et qu’il allait ressortir par mon ventre. C’était différent avec la chatte même par derrière. Nous avons ainsi niqué pendant un long moment et il a réussi à me provoquer un orgasme, ce qui m’a agréablement étonnée. Puis il s’est accroché plus fort à mes hanches et a éjaculé trois bordées chaudes dans mon cul. Oui, je les ai bien ressenties, chaudes et puissantes, dans la chair interne de mon cul. Enfin, il s’est retiré et m’a montré son zob encore luisant de sperme blanc. J’étais nue et je me suis agenouillée pour lui lécher et sucer le zob jusqu’à le nettoyer à fond. Mon suçage lent et quelques aspirations pour recueillir les restes de sperme ont regonflé un peu le zob. Il était certes fléchi, mais même dabs cet état, il était lourd et puissant. C’est d’ailleurs ce poids qu’il possède même débandé et ce volume presque monstrueux qui me donnèrent des frissons sur tout le corps et même dans cette chatte qui a pourtant eu sa ration ce soir. Tout en finissant son nettoyage avec mes lèvres et le retenant dans ma main, ce zob me possédait et m’excitait. J’avais envie de lui encore dans ma chatte et aussi dans ma terma. Mais il fallait faire attention à la santé de mon amant et le libérer pour demain soir. Et c’est ainsi qu’il est parti, épuisé de ses trois baises et moi presque rassasiée. Plus tard, bien douchée et nettoyée, dans mon lit, je pensais à cette soirée inédite et c’est la niquée par la terma qui me revenait le plus et me donnait encore des frissons de désir. Je croyais que seule la chatte était le palais du plaisir sexuel, mais je viens de découvrir que la « terma » était plus qu’un complément de plaisir mais avait des jouissances inédites. Ce n’est que maintenant que je comprends pourquoi il y a beaucoup d’hommes et de jeunes hommes qui donnaient leur cul à niquer par de gros zobs. Les jouissances que j’ai eu ce soir pardonnaient complètement le choix de ces hommes qui offraient leurs « terma ». J’espère qu’un jour, je pourrais rencontrer un de ces jeunes pour l’écouter parler des sensations et jouissances de sa « terma ». Maintenant ce que j’espère, c’est que le danger des terroristes et les gardes dans les rues et sur les toits durent le plus longtemps possible.

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